L antre de la terreur

La route avait été longue et éprouvante.Je m étais perdus plusieurs fois dans cette foret parsemé d arbres désolés et sinistre ou jonchais au sommet du tallus une église que je rejoingnis a contre coeur.
Elle était construite dans un creux ou on avait dégagé le sous-bois tout autour,c'était un bâtiment en bois ,peint en blanc avec clochez rouge ou ces longues vitres étroites ne laissais guére l envis d y penetrer.
Il n y avait pas de cimetiere à proprement parler,seulement des tombes ici et la émergeant maladroitement des herbes folles.
Ce qui a retenus le plus mon attention fus cette statue, dans un coin , un ange décapité aussi grand qu un homme , dont les bras et les ailes se perdaient parmi les branches tombantes.
Le soleil avait disparu et le ciel brillait faiblement.Une lumiere grise , sans contraste , recouvrait petit a petit le sous-bois avec une brise qui soulevait les feuilles mortes rendait le calme plus envahissant encore.

Lorsque je vis cette homme,son visage etait comme rongé au yeux vide de vie d un noir profond.Ses vetement etaient en lambeau et d une puanteur sans égale,ces pas ce fis de plus en plus rapide envers moi s approchant a vive allures.
Et la je compris que cette etre ne pouvait etre un homme ou du moin n en était plus un.
Je commencais a tremblé face a cette creature venus de néant mais je devais survivre et je savais déjas que ce combat serais redoutable et décisif pour moi.

Les coups pleuvaient sur moi mon adversaire ce battait avec une rage démente.Il frappait , griffait , balançait de grands coups avec sont corps.On aurait même dit qu il essayait de me mordre les mains et les bras .
Je le maintenais a distance avec peine car c était une bete furieuse .Je vis cette grosse pierre qui jonchais le sol que je pris avec haleine tandis que ces poings retomberent sur moi sans relaches.La pierre ecrasa le crane de cette etre ou retentit un bruit horrible laissant couller une matiere gluante avant de s ecroulé.
Mais je ne sortis pas sans peine de ce combat laissant mon bras ensanglanté le long de mon corps...................


a vous d imaginer la suite :

Il faisait désormais nuit noire. Impossible de distinguer quoique ce soit à plus de quelques mètres . Seul mon souffle court et apeuré faisait écho aux bruissements inquiétants de la fôret .
Ne regarde pas derrière toi et avance
Je laissai l'homme ou plutôt la chose qui m'avait attaquée derriere moi et essayai de me calmer . La douleur était lancinante , et j'avais l'impression de perdre beaucoup de sang , il fallait que je fasse quelque chose pour me soigner . En claudiquant , je me ruais tant bien que mal vers l'église malgrés la peur qu'elle m'inspirait mais de toute manière , je n'avais pas le choix.
Il doit bien y avoir encore quelques ustensiles utiles là dedans
La double porte semblait beaucoup plus petite de loin et arrivée devant , je dû lever le regard pour en voir le sommet , où une étrange gargouille scultée dans le bois et à l'expression moqueuse paraissait surveiller l'endroit . Je collai l'épaule de mon bras valide contre un des battants et poussai de toutes mes forces . La porte vacillait à peine , le bois avait gonflé . Au bout de quelques minutes , j'arretai mon effort , m'adossai à la porte et me laissai glisser au sol pour récuperer des forces.
Ce que ça peut faire mal ! il faut que je m'occupe de ce bras
La plaie n'était pas trés large mais parcourait mon bras de l'épaule à la moitié de l'avant bras . J'arrachai un bout de tissu de ma veste et nouai un garrot au niveau de l'épaule , puis rinçai le sang avec l'eau de ma gourde . Cela me calma : mon coeur recommencait à battre de maniére normale et je respirais plus posement .
C'est déjà ca ... maintenant il faut que je rentre , je ne tiens pas à passer la nuit dehors
Je me remis en position , et me concentrai à l'effort a venir .
Pousser d'un coup sec , de toutes mes forces
Mais juste avant de se lancer , un râle se fit entendre un peu plus bas , bien distinct des tous les autres bruits du vent ou des animaux , comme si un homme mourrait à quelques métres.
Tu délire , c'est juste ton esprit , allez il faut pousser
Un autre râle se fit entendre mais cette fois ci , il était plus long et plus rauque que le premier. Puis des bruissements . Comme si un animal se faufilait dans les herbes . Des bruissements de plus en plus fort . La chose se raprochait . Impossible de distinguer ce que c'était . La porte était toujours bloquée . Je poussais de toutes mes forces . La chose était maintenant à quelques pas.
Ne regarde pas ! et pousse ! pousse ! Va tu t'ouvrir satanée porte !!
Je jettai un regard par dessus mon épaule , et j'aperçu un homme rampant vers moi . Il était nu à part quelques brides de tissus encore collées sur lui , sa jambe droite était sectionnée à niveau du genou et il dégageait une odeur putréfaction avancée.
Encore un ! Mais où suis je tombée ! il FAUT que je rentre à l'intérieur !
Dans un ultime effort et alors que l'homme essayait de m'agriper la jambe , la porte s'ouvrit violement , me faisant presque trébucher à l'intérieur. Je me précipitai alors pour la refermer et entassai tout ce que je trouvais à portée de main . L'homme ne semblait pas avoir la force de rentrer et se contentait de gratter le bas de la porte comme une bête . J'en profitais pour solidifier la barricade d'objets héteroclites qui bloquait la porte par une sorte de commode en bois brut que je deplaçai difficilement au terme d'un dernier regain d'énergie.
Ouf , ça m'a l'air de pouvoir tenir , et les fenêtres sont trop étroites pour qu'un homme puisse s'y faufiler
J'étais épuisée , tremblante , mais au moins en vie .



Suite au prochain épisode ^^
( j'espere que c est pas trop nul mais j'avai envie de me lancer )

Mon coeur battait la chamade. Mais où estce que j'etais tombé?! Si on m'avais dit que courtiser le fille d'un prince elfique etait si grave...
Alors que mes pensées vagabondaient, je senatait moin bras s'engourdir. Mes forces me quittaient doucement. L'adrenaline qui m'avait permis de tenir jusque là s'en allait. Le raclement des doigts de la creature de l'autre coté de la porte meublaient le silence. Le moindre mouvement semblait inoportunt en ce lieu. Lemoindre son se repercutait sans fin dans les arcades de cette église Au dessus de ma tête, une ouverture béante laissait apparaître la lune. A contre-jour, les voûtes squelettiques encore debout du plafond autrefois splendides se découpaient dans la lumière blafarde. Soudain, les cloches se mirent à sonner. Le son qui me parvenait était comme étouffé par la brume qui rentrait maintenant par les vitraux brisés. Machinalement, je comptais les coups. Au 13ème, ils s’arrêtèrent. Le silence etait maintenant total. Je tendis l’oreille. Cette absence de son etait réellement malsaine. La créature qui grattait à l’extérieur était maintenant silencieuse.
Je tentai de me lever. Mes jambes me portaient à peine. Chaque pas etait une torture. Je buttai contre un banc brisé. Je luttais pour avancer et m’effondrai au pied de l’autel. Prés de moi, un mouvement, un cri. Une chouette s’envola, soulevant un nuage de poussière. Alors que je suivais sa course des yeux, j’aperçu un mouvement entre les voûtes. Un sentiment de mal être m’envahi. La peur serra mon cœur de sa main glaciale. De nouveau, un mouvement. Ce qui m’observait jusque là s’approchai, jugeant mon heure venue. Je ne pu discerner de forme précise. La chose qui s’approchait de moi était comme un filet d’eau noire, grasse, visqueuse. Ce filet grossi, pris de l’ampleur. En quelques instants, c’etait un véritable torrent bouillonnant qui avançait vers moi dans un silence de mort. J’etais tétanisé. Les cloches de l’églises se remirent à sonner.



heuu, je ne sais pas comment le sortir delà, aidez le svp^^

elle s'approchait vers moi de plus en plus menaçante, tétanisé par la peur, je regardais impuissant cette masse immonde lever ce qui ressemblait plus ou moin a un bras quand soudain un nouveau son de cloche résonna et me sortit de mon sommeil, le tein pale dégoulinnant de sueur : tout ceci n'étais ce qu'un simple rève ? ] seulement cet illusion ne dura pas, mon bras ensanglanté me rappela dans quel situation je me trouvais ! blassé dans une église en ruine avec des cadavre embulant qui ne cherchais qu'a me déguster . mon bras me faisait de plus en plus mal et semblais gonflé, peut'etre était ce la source de ces cauchemars . dire que pas plus tard qu'hier j'étais encore dans un bar tenus par de nains dont le nom étais assez révélateur "aux gais nains"
c'est la que c'est bien héhéhé, c'est la aussi que j'ai rencontré la fille du roi des elfes ce laideron ! j'étais tellement éméché que je lui ai conté florette mais quand je me suis apperçus de cette folie je me suis enfuit la laissant seul a marmoner des formules bizard tout en sanglotant de colère . Je hais ces elfes et leur magie a 2 rond !

Quand soudain ...

lol j'ai sauvé le héros et en plus j'ai insulter les elfes je suis fier !

ils se marièrent et eurent bcp d'enfants...

difformes

Citation :

Mais où suis je tombée

Citation :

J'étais épuisée , tremblante

A la base il s'agit plus d'une heroine lol
Le ''héros'' s'appelle donc Roberto et vient du Brésil

Citation :

lol j'ai sauvé le héros et en plus j'ai insulter les elfes je suis fier !

Mdrr

heuuu, j'avais pas vu le fèminin la^^ on vas dire que c'est un elfe comme ça on a pas à se poser la question^^

en tout cas merci a vous tous d avoir continué cette histoire je me suis regallé a lire vos post

heuuu, qui a dit que c'etait fini?

Quelque chose avait changé pendant ma perte de conscience... La chose ni vivante ni morte avait cessé de frapper à la porte et un silence de mauvaise augure regnait maintenant dans la chapelle dévastée.

Le lieu semblait en effet avoir été ravagé comme par une tornade. Deux grandes statues d'albâtre qui avaient du encadrer l'autel étaient tombées au sol, brisées en de multiples endroits. Les vitraux semblaient avoir été soufflés et les grandes draperies qui devaient décorer autrefois la nef flottaient maintenant, poussées et repoussées par un courant d'air glacé, noires comme des ailes d'ombres. Voilà qui expliquait mon horrible vision... Au fond, derrière l'autel, je discernais ce qui ressemblait à une moitié de corps humain supérieure, le ventre déchiré et les bras absents, la face bouche ouverte mais à moitié dévorée tournée vers moi, comme pour m'avertir d'un destin horrible.

Craquement et éclat de verre. Et accompagnés du plus hideux des gémissements, un bras et une tête font irruption dans le fenestron brisé près de la porte, indifferent aux éclats de verre qui les déchirent.

Ce que je vois alors me saisi d'horreur. Le visage de l'homme-non mort est gonflé par la nécrose, sa peau a viré à l'orangé, marbré de varices et moisissures bleu-noir. L'iris de ses yeux a horriblement pâli, formant deux perles grises sans vie qui ne peuvent me voir mais me fixent pourtant. Sa gueule s'ouvre béante, garnie de dents brunies et reste un instant odieusement silencieuse avant de pousser difficilement un hurlement rauque au desespoir glaçant.

Le rouge sombre qui a coulé des lèvres au menton de cet abominable visiteur... je ne peux dire s'il sagit de son propre sang séché ou de celui d'une infortunée victime.

Comme il ne peux passer le fenestron, il tord sa tête de façon grotesque comme pour forcer le passage. Son bras ballote avec des gestes saccadés, heurte une des chaises de ma barricade et la fait valser vers le sol. Un autre coup sourd se fait alors entendre sur la porte et une plainte plus aigue... Mon visiteur est loin d'être seul...

Tout reviens instantanément, la peur, le désespoir, et cette douleur intense, lancinante dans mon bras. Cette douleur augmente. C’est à la limite du tolérable. La tête me tourne. J’effectue quelques pas en direction de la barricade. Je jette des débris sur l’homme non mort dont le corps dépasse maintenant à moitié de la porte. Encore une fois, la porte tremble sous les coups répétés de mes assaillants. Je me retourne et fuis vers l’autel. Je renverse derrière moi les banc et les chaises. Instinctivement, je me dirige vers la nef, pensant trouver refuge dans le lieu le plus sacré de l’édifice. L’autel est la, devant moi. Derrière l’autel, le corps dévoré se dresse alors, entouré de lumière. Ses plaies se referment, il me souri. Maintenant, une armure brillante recouvre son torse. Un miracle ! Enfin de l’aide. Je reconnais là un paladin, le port altier, l’arme étincelante qui pend à son coté ne laissent aucun doute. La porte de l’église se romps, une douzaines de goules s’avance vers nous, les bras ballants, le teint livide. Des vers blanc grouillent sous leur peaux. Cependant, je n’ai plus peur. Rien ne peut venir à bout d’un paladin. Je me lève et me rapproche de lui. Il lève le bras, les goules s’arrêtent à quelques pas de nous. Mon sauveur se met à réciter des mots étranges, des mots que je n’ai jamais entendus. Les goules restent figées. Le paladin se tourne alors vers moi, toujours souriant, une boule verte d’une lueur sans éclat est maintenant présente dans sa main. Son sourire se transforme en rire, un rire démoniaque à vous glacer le sang. Les variation régulières, presque hypnotiques de l’ incantation captent toutes mon attentions, les élancements dans mon bras suivent eux aussi ses paroles. Je suis perdu, je le sais, je vais devenir une de ses créatures décharnées. Le paladin devant moi n’a maintenant plus rien de sa splendeur d’antan. On peut lire dans son regard féroce, noir, assoiffé de sang, le mépris du vivant. Encore une foie, son bras se lève. Je suis soulevé. Mon corps ne m’obéi plus, mes veines me brûlent. Je souhaite que tout cela finisse, que mes souffrances cessent. Je maudi encore ses elfes arrogants qui m’ont livrés à cette contrée maudite. L’esprit me quitte. Mes yeux comprimé me rentrent dans les orbites. Mes tympans sont prêt à exploser. Je m’évanoui. C’est comme une libération, plus de douleur, plus de souffrances.


à suivre...

Le corps gisait dans les décombres, tordu comme s'il s'était brisé dans une chute vertigineuse, de son bras et de sa poitrine s'était écoulé un sang brun, ses yeux tournés vers le ciel restaient révulsés d'horreur. Pourtant cela faisait plusieurs jours qu'il était là...

Qui dit que les morts ne ressentent rien ? Les ignorants ou ceux qui se refusent à croire cela possible ? Et pourtant, si le coeur du corps restait desespérement silencieux, une autre pulsation sourde, telle un souffle faible mais pourtant insistant naissait au tréfond de ses viscères mortes...

Et le corps se leva, maladroitement, comme un somnambule et commença de déambuler dans la chapelle. Le signal le mena aux vantaux de la porte fracassés, puis dehors, ou dans la nuée de brume stagnante du milieu de la nuit, il se mit à errer, marionette désordonnée, privée de volonté, sensible uniquement à cette vibration sombre, au creu de son ventre comparable a nulle autre chose ressentie chez les êtres vivant, un mélange d'appel, de frustration féroce, et de faim lentement grandissante.

Le corps avanca plusieurs jours ainsi insensible à tout ce qui l'entourait, évité des bêtes, des hommes, des monstres. Il sorti du pays de pins noyés de brouillard pour une région ravagée à l'air vicié et au ciel ocre. D'autres corps comme lui se dirigeait lentement vers le même endroit. Certains, dans un état de décomposition plus avancée, avaient subi d'immondes metamorphoses, crocs et yeux agrandis, griffes acérées, démarches rapides et grognement gloussés ressemblant presque à un langage propres aux pires demons de l'enfer.

Un immense chaudron se tenait près d'un ensemble de ferme d'où une fumée âcre et verdâtre montait comme d'un volcan en eruption, silencieuse pourtant, mortellement silencieuse. Nulle bête en ces lieux ne venait, même le vent ne venait contredire ce silence. Tout ici ne servait que la mort, ou ceux qui savaient la contrôler, et notre corps ne faisait pas exception, vide de tout sauf de cette pulsation qui forçait à l'obeissance.

Un cadavre ambulant aux traits émaciés et aux cheveux à moitié arraché avançait en balançant son unique bras. Il tordit, gémissant, son cou vers le nord, mais réagit trop tard. Une flèche s'enfonça tel un pieu dans son ventre, suivie d'une sphère de feu qui éclata en l'enroba de flammes dévorantes.

La créature gémit et porta un coup vers la silhouette qu'elle discernait à peine et qui se tenait devant lui. Elle ne l'entendait pas, mais ressentait sa présence comme une douleur. Cet être vivant devait être détruit, dévoré, anéanti. Mais le cadavre ambulant reçut en réponse de son coup maladroit une hache qui s'enfonça dans son crâne, l'ouvrant presque en deux. Et une nouvelle vague de projectile, magique et materielle acheva de détruire le reste de structure qui tenait ce corps debout. Il s'effondra.

Les goules et zombies qui par dizaines erraient en ces lieux levèrent la tête, et se redressèrent comme furieuses pour courir grotesquement vers le chaudron. Quelques squelettes animés aux lueurs vertes à la place des yeux brandirent leurs épées d'acier souillé. Le silence était rompu et des vivants, sans doute à la solde de l'Aube d'Argent venaient souiller la Source de la corruption des lieux.

Notre corps ressentit lui aussi l'horreur de cette invasion comme la plus affreuse des douleurs, nul vivant ne pouvait approcher de ce lieu. Il fallait les détruire, rien d'autre ne comptait que ce désir de les détruire, impératif.

La bataille qui fit rage entre les mercenaires et les morts vivants ne rentrera pas dans l'histoire, épisode banal à notre époque où trop d'aventuriers trop sûrs d'eux perdent la vie en se croyant protégés par on ne sait quelle puissance divine ou maîtrise de leur art. Le nombre des créatures avait été surestimé malheureusement pour ceux qui nous concernent.

La magicienne se redressa et ses belles lèvres couvertes d'un délicat trait rouge incantèrent, ses mains s'écartèrent brusquement et une vague de froid horizontale figea les morts vivants qui l'entouraient dans une nova de glace. Le chasseur, un humain aux longs cheveux sales et au visage d'aigle se précipita vers le chaudron, portant une flasque contenant une eau lumineuse. "Vite !! " cria le nain brandissant sa hache "ils sont foutrement nombreux" et il abattit son arme vers les jambes d'un garde squelette les brisant net dans un craquement affreux. La magicienne hurla alors... une créature avait échappé au cercle de glace et s'était précipitée derrière elle en gloussant. La mage se retourna pour recevoir deux coups de griffes à la gorge et l'épaule mais d'un geste vif elle disparu et réapparu un peu plus loin.

Le chasseur se retourna après avoir fait couler sa flasque dans le chaudron qui se mit a bouillonner etrangement et à se secouer de convulsions. Il vît avec horreur une goule de deux mètres foncer en abbattant sa main griffue vers sa compagne magicienne, achevant de lui ouvrir la gorge. Son camarade nain semblait lui paralysé, la hache levée, ses yeux seuls mobiles fixant avec horreurs les crocs acérés des goules venant le dépecer. Une horrible creature decharnée incantait dans son dos liberant avec hargne une orbe noire comme la nuit vers le chasseur médusé...

Notre corps tira de toute ses forces sur la pièce de metal qui formait le gorgerin de l'armure. Avec la force ignoble que lui conferait sa nouvelle condition, il parvint à la tordre et pu planter ses dents dans la chair du valeureux nain et se repaître. Horrible ripaille à laquelle se livrèrent les non-vivants, mais pourtant... au goût de cette chose qui fut il y a peu si vivante, une autre sensation naissante, très faible parcouru l'esprit de notre corps. Le souvenir de la vie, de ses joies, de ses choix, n'étaient pas si loin.

Peut être que la prêtresse réprouvée devina que ce nouveau corps n'était pas assez corrompu... Allait elle pouvoir lui redonner sa liberté ?

(la morale de l'histoire, il ne faut pas dire du mal des princesses elfes :p Halet, où on finit en steak )

Ah bah merci les gens, maintenant jfai des cauchemards !!!!

pas ma faute si c'est un boudin ...(cf princesse de maraudon ex de hannali)
les elfes se sont bien transformer en nagas a un moment comme quoi de jolies fleurs peuvent se transformer en gros tons !!!!

MDR

Vraiment un grand bravo à tout ceux qui ont écrit cette histoire tellement passionnante.
J'ai pris un plaisir immense à tout lire jusqu'aux bout et j'espère que vous en écrirez d'autre !!! Je les lirais avec autant de plaisir que celle là.
Bonne route à tous et bonne continuation.